Gerald Bull, une expo canon...
opération relations médias réussie!

Robert Bull, très expressif, répondant aux questions
de Ginette Lamarche, journaliste à Radio-Canada.
Photo : Richard Leclerc
Depuis le début de cette exposition, j'ai travaillé jour après jour à joindre les médias nationaux en utilisant les réseaux sociaux et tout particulièrement les blogues du Musée de Sutton et de l'expo canon, les pages facebook et mon compte Twitter... les résultats des derniers jours démontrent que ce n'était pas en vain :

L'impact sur le nombre des visiteurs au Musée de Sutton a été significatif. 

Messages les plus consultés de ce blogue

Refonte d'un logo, de Provi-Soir à Couche-Tard

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Le logo, c'est l'image de la marque. Depuis mes débuts en publicité dans les années 70, j'en ai créé des logos, j'en ai même retouchés! Un de ceux que vous voyez encore tous les jours dans votre environnement, c'est celui de Couche-Tard , le célèbre hibou! Au milieu des années 80, j'ai en effet travaillé pour Provigo et plusieurs de ses bannières, dont Provi-Soir . Je trouvais cependant que le hibou avait l'air triste, voire penaud. J'ai donc proposé avec François Drouin , graphiste, une nouvelle image du hibou plus dégourdi, qui fait un clin d'œil sympathique aux consommateurs, sans ses jambes et le bout de ses ailes qui l'alourdissait. Une refonte bien réussie puisque lorsque l'entreprise Couche-Tard  en a fait l'acquisition, c'est le nouveau logo de Provi-Soir qui a été conservé pour toute la chaîne.
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La publicité ça coûte cher?
Non... et bien faite, ça rapporte!

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En compagnie de Rémy Girard , animateur du Gala du Publicité-Club de Montréal en 1993, alors que j'en étais le président. La publicité, ça coûte cher! Une phrase que j'ai entendu souvent depuis le début de ma carrière dans ce domaine. Pourtant, il en existe une autre que certains annonceurs n'hésitent pas à prononcer : La publicité, ça rapporte! J'ai toujours considéré la publicité comme un investissement, pas comme une dépense... à moins que votre campagne soit improvisée, sans analyse adéquate, ni de votre marché, ni de la cible à qui vous vous adressez. Je prêche pour ma paroisse, direz-vous? Non, je parle par expérience. Quand rien ne va plus, plusieurs annonceurs coupent la publicité en premier. Paradoxe, car on arrête alors de stimuler le marché qui nous fait vivre. C'est quoi votre budget?   Voilà la question! D'abord, en avez-vous un? Communiquer ça peut être abordable, surtout quand on utilise les nouveaux médias, comme les réseaux sociaux... e
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